J'ai Besoin D'aide Svp ! Expression Écrite : Sujet : Il est minuit , tu rentre chez toi à pied , quand soudain tous les lampadaires s'éteignent . Dans un paragr
Français
YoussraLarzaa
Question
J'ai Besoin D'aide Svp !
Expression Écrite :
Sujet : "Il est minuit , tu rentre chez toi à pied , quand soudain tous les lampadaires s'éteignent ."
Dans un paragraphe d'une quinzaine de lignes , tu vas raconter ce moment d'angoisse .
Consignes : - Mon Texte est rédigé a la première personne .
- J'emploie le présent de l'indicatif .
- J'emploie des phrases négatif et des adj qualificatif avec préfixes privatif. (ex: incapable invisible )
-J'utilise le vocabulaire de la peur .
Bunus : - Si j'emploie ces mots "Opresse , Frémir , Poltron , redouter"
- Je Respect l'orthographe et la Grammaire.
Expression Écrite :
Sujet : "Il est minuit , tu rentre chez toi à pied , quand soudain tous les lampadaires s'éteignent ."
Dans un paragraphe d'une quinzaine de lignes , tu vas raconter ce moment d'angoisse .
Consignes : - Mon Texte est rédigé a la première personne .
- J'emploie le présent de l'indicatif .
- J'emploie des phrases négatif et des adj qualificatif avec préfixes privatif. (ex: incapable invisible )
-J'utilise le vocabulaire de la peur .
Bunus : - Si j'emploie ces mots "Opresse , Frémir , Poltron , redouter"
- Je Respect l'orthographe et la Grammaire.
2 Réponse
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1. Réponse craxor
tu fais un paragraphe qui fait peur/: et tu utilise
1) m'oppresse la poitrine je ne npeux plus respirer je suffoque
2) en voyant une ombre qui se dessinait je frémis et redoute sue ce soit un cambrioleur
la peur me rendit incapable de bouger mon corps et mon âme me criait de courir mais je m étalé dans un bruit sourd ,, alors se décrochant de l'ombre je reconnus la mine noire et sans pitié pitie ddun meurtrier, il s'avance et ( mettre la phrase 1 )
by craxxor :) -
2. Réponse manoucorsica
Il est minuit, je marche dans la rue froide, sur un sol givré qui crépite sous mes pas. Les halo de lumière des lampadaires guident mes pas pressés. Soudain, la nuit noire m'enveloppe, la rue échappe à mon regard, plus de lumière.
Un frisson me parcourt toute entière, je ne me sens plus en sécurité. Il faut pourtant que j'avance, je suis oppressée et je redoute le danger. Pourquoi ai-je si peur, je connais le chemin qui mène jusqu'à chez moi. Alors je me traite de poltron, et, malgré le froid mes joues et mon front brulent. Je me mets à courir et mon souffle devient court. Les arbres de la rue ont d'étranges formes et j'imagine qu'on me suit, qu'on m'épie. Tout mon être frémit, je n'ose me retourner, je vais courant avec l'air hébété. L'angoisse me tenaille, je ne sens plus mes membres et pourtant je cours de plus en plus vite, la rue semble s'étirer et je n'en vois pas la fin. Je me raisonne encore et encore des silhouettes noires défilent ou semblent défiler j'ai l'impression de perdre la raison. Quand enfin brille au loin une petite lumière, c'est celle du hall d'entrée de ma maison que maman laisse allumé lorsque je sors le soir, pour que je puisse trouver la serrure de la porte sans difficulté. Alors mes yeux s'accrochent à elle, comme à un oasis l'homme qui a soif et je cours jusqu'à elle la tension est moins vive et pourtant sur mes joues coulent des larmes amères.