Aidez moi s'il vous plait, je vous en supplie. Merci beaucoup ! Voici le début d'un conte de Gérard de Nerval. (voir au-dessous). Il faut le continuer sur un pa
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Anonyme
Question
Aidez moi s'il vous plait, je vous en supplie. Merci beaucoup !
Voici le début d'un conte de Gérard de Nerval. (voir au-dessous). Il faut le continuer sur un paragraphe en utilisant correctement les temps du passé (imparfait et passé simple) :
Je venais chez ma maîtresse et je cheminais au milieu des rêveries et de l'effroi qui vous assaillent à minuit. Et, comme je passais devant le cimetière, les tombes m’appelèrent gravement et silencieusement.
PS : 30 points en échange si c'est parfait !
Voici le début d'un conte de Gérard de Nerval. (voir au-dessous). Il faut le continuer sur un paragraphe en utilisant correctement les temps du passé (imparfait et passé simple) :
Je venais chez ma maîtresse et je cheminais au milieu des rêveries et de l'effroi qui vous assaillent à minuit. Et, comme je passais devant le cimetière, les tombes m’appelèrent gravement et silencieusement.
PS : 30 points en échange si c'est parfait !
1 Réponse
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1. Réponse luwan
Je venais chez ma maîtresse et je cheminais au milieu des rêveries et de l'effroi qui vous assaillent à minuit. Et, comme je passais devant le cimetière, les tombes m’appelèrent gravement et silencieusement.
Je me dirigeais silencieusement vers ces pierres, sombres et obscures. Sous les rayons de la lune voilée par les nuages, elles luisaient d'un éclat inquiétant et macabre. Mais un sentiment incompréhensible et intense m'empêchait de faire demi tour. J'avais bien conscience d'être angoissé et effrayé, mais rien de pouvais m’arrêter. Je devais le rejoindre. Rejoindre qui? rejoindre quoi? je l'ignorais encore.
Mes pas me guidaient toujours plus loin. je n'avais jamais remarqué que le cimetière était si grand. Je sursautai quand je senti quelque chose me frôler. Mais il ne s'agissait que d'une feuille d'automne qui s'était envolée.
Je m'étais arrêté, le silence était angoissant, j'ignorais tout de l'endroit où je me trouvais et mon téléphone était resté dans la voiture. Je pris conscience que même si je l avais voulu j'aurais été incapable de bouger. Soudain un bruit derrière moi me fit frissonner. Je restais paralysé par la peur. Je sentais sa présence, son souffle dans mon cou. Il me touchait presque....
Je me retournais. Et mon hurlement muet retentit dans les tréfonds du silence.