Rédaction aidez moi Un jour, vous avez vécu une gross déception inattendue.Racontez cette éxpériance personnelle,dans le systéme du discours;a la premiére perso

Cela faiait déjà trois mois que nous préparions en famille notre départ pour les vacances d'été. La destination n'était pas ordinaire pour moi, car il s'agissait d'aller visiter le pays de mes ancêtres, ce pays où vivaient encore mes grands-parents que je ne connaissais pas. Nous avions économisé durant quelques mois, nous privant même le plaisir des sorties et de vêtement à la mode dont j'avais très envie. Mais l'appel du pays de mes origines était plus forte que tous les trésors.
Ce matin là, trés tôt, nous devions prendre l'avion, je jour J était arrivé et mon coeur dans ma poitrine semblait bondir de joie. J'aidais mes parents à remplir le coffre de la voiture de mon oncle qui devait nous déposer à l'aéroport. Mes petits frères étaient aussi fébriles que moi, mais le montraient en étant insupportables. Mais qu'importe tous étions joyeux. Arrivés à l'embarquement, serrés les uns contre les autres, nous attendions l'annonce qui nous inviterait à grimper dans l'avion.
A chaque appel, précédé d'une petite musique, je sursautais impatient....
Enfin une voix invita tous les passagers de notre vol à rejoindre un bureau dont je me souviens pas le numéro. Mes parents s'envoyaient des regards étonnés, mais c'était la première fois que je prenais l'avion, pour moi alors rien d'anormal, je suivais les parents. Arrivés dans cette petite salle un homme entourés de deux policiers nous annonça que l'avion ne décollerait pas pour des raisons de sécurité.
Alors les questions fusaient de toutes parts c'était le brouhaha total. Mes yeux se remplissaient de larmes et mon coeur battait fort mais cette fois de tristesse. On fit sortir les enfants et nous fûmes pris en charge par une gentille hôtesse.
Mes parents les yeux rougis m’expliquèrent en nous rejoignant que notre pays était en guerre.et que notre voyage était annulé. Je fus pris de sanglots et ma peine était insurmontable. Une seule question venait à mes lèvres : " Pépé , mémé, que vont-ils devenir". Mon père me prit par les épaules pour me donner quelques explications et me rassurer. Dans la voiture sur le retour vers notre maison un sentiment de peine immense envahissait mon cœur mais aussi de haine contre ceux qui attaquaient mon pays