vous pouvez me écrire un beau sujet de peur

Écrire un combat entre des fantômes, des zombies et des vampires.

Dans une salle qui était pas très sombre, je regardais ma fiancée (Marie) dans son cercueil. Mon ami Valentin est venu et m'a dit qu'il avait une idée de comment avait était tué ma fiancée.
-Votre femme est une vampire.
- IMPOSSIBLE !!!!! Ais-je hurlé.
Je savais que cela ne devait pas être vraie. Mais alors pourquoi j'eux un frisson. Je me tournis pour me retrouver face au cercueil de Marie mais elle avait disparu. où pouvait qu'elle se trouvait? D'abord, comment se fait-il qu'elle ne soit plus là? Je me tournis et j'ai cherché des yeux Valentin. Il n'était plus là. Tout à coup, j'ai trouvé que la pièce était en train de devenir lugubre, très triste et... effrayant.
Quoi?! Mais personne était là alors pourquoi j'étais pétrifié. Je me suis retournais et j'ai marché très vite vers la porte. C'est alors que Marie apparut devant moi.
- Mari?!!!
Elle semblait triste comme si elle regrettait quelque chose.J'ai reculé et elle me sourit. Ce sourire n'avait pas de chaleur. C'était comme si elle me disait que j'avais bien fait de reculer. Marie s'avança et je reculais à chacun de ses pas.
- N'es pas peur, je ne te ferai aucun mal.
J'ai frissonné, je savais qu'elle mentait et qu'elle va... va me mordre le cou.
Je vis du coin de l'oeil un couteau et un bout de bois. Je pris le couteau d'une main et le bout de bois de l'autre. J'ai couru vers Marie et je lui ai plantais le couteau à la gorge. J'étais en train de poignarder ma fiancée. Elle me regarda et son regard le disait qu'elle me supliait que je l'a laisse. J'ai baissais les yeux ne pouvant suporter de regarder ses yeux. Je mis le bout de bois dans la gorge et j'ai eu le courage de la regarder. Elle me souriait, cette fois elle avait un vrai sourire. C'était le sourire qu'elle m'adressait lorsque je lui disais je l'aime. Elle se désintégra. C'est alors que Valentin apparut devant moi et me montra ses cros. Je me suis réveillais chez moi en sursaut. Valentin se trouvait devant moi. Je me suis convincu que tout cela n'était qu'un horrible cauchemar. Tout à coup, quand Valentin me donna un verre d'eau, je vis sur son cou deux trous.