SVT

Question

Bonjour, alors j'ai besoin d'aide, c'est tres urgent !!!

Je dois réaliser un travail bien structuré: Introduction, Problématique, Hypothèse, Corps du texte et Conclusion.
Documents utiles en pieces jointes + INTERNET:

C'est sur le LSD et la Psilocybine, des drogues qui perturbent la vision.

Réaliser une recherche sur ces drogues en indiquant:

- L'origine de ces produits et la forme sous laquelle ces produits sont consommés

- Leurs effets sur l'organisme et notamment sur la perception visuelle

- Une hypothèse sur l'action de ces substances sur les neurones ou les relations entre les neurones (synapses), On peut s'aider en comparant les molécules de sérotonine (un neurotransmetteur) de LSD et de Psilocybine.

- Le mode d'action de ces substances hallucinogènes pour vérifier votre hypothèse

- Les dangers de leurs consommation tant d'un point de vue individuel que sociétal.


S'il vous plait c'est tres tres important alors pas de blague merci ...


Bonjour, alors j'ai besoin d'aide, c'est tres urgent !!! Je dois réaliser un travail bien structuré: Introduction, Problématique, Hypothèse, Corps du texte et C
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1 Réponse

  • Le LSD et la Psilocybine sont de puissants hallucinogènes. Leurs consommations est interdite, car outre les hallucinations ces substances provoquent d'autre méfaits sur le corps humains.

    Le LSD est une substance chimique, l'ergotamine, synthétisé par Albert Hofmann en 1943. Le LSD se présente sous la forme d'un buvard, d'une "micropointe" (ressemblant à un bout de mine de crayon) ou sous forme liquide. Un "trip" contient entre 50 et 400 micro-grammes, de LSD.
    Il se consomme principalement per os. Beaucoup plus rarement il est fumé, pris par voie sublinguale, par voie sanguine (en injection ou incision), par voie transdermique, ou par voie oculaire, dans le but de modifier la puissance ou la cinétique des effets produits.

    Les champignons hallucinogènes les plus consommées en France sont des psilocybes et contiennent comme principe actif de la psilocybine. Cette molécule a été identifiée au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.
    On les trouve sous forme fraîche ou déshydratée. Faciles à se procurer, particulièrement par Internet, et peu onéreux.
    Malgré leur goût et leur apparence souvent répulsive, ils sont consommés par voie orale,
    et dans de rares cas par inhalation à chaud (fumée) de champignons.
    Lorsque les champignons sont consommés par voie orale, il existe divers modes de préparation. Les plus rudimentaires consistent à avaler le produit frais après l’avoir mâché ; les plus sophistiqués à l’utiliser comme ingrédient dans le cadre de préparations culinaires (omelettes, pizzas, gâteaux), à l’ingérer en infusion ou après l’avoir fait macérer dans de l’alcool.
    L'effet est semblable à celui du LSD et dure entre 6 et 8 heures.


    La sérotonine est l'un des nombreux neurotransmetteurs. Elle intervient dans diverses fonctions cérébrales (perception sensorielle, humeur, émotivité, sommeil...). La partie de la molécule qui se fixe sur le récepteur a une conformation semblable à celle d'une partie de la molécule de LSD. Les deux molécules peuvent donc se fixer sur le même récepteur. La psilocybine des champignons hallucinogènes a un mode d'action voisin. Le cannabis et les opioïdes (morphine, héroïne...) agissent de manière comparable mais avec d'autres neurotransmetteurs.
    Les récepteurs spécifiques de la sérotonine sont largement répartis dans le cerveau. Leur activité est augmentée par la consommation de LSD. On retrouve notamment le LSD dans les corps genouillés latéraux, principale zone de relais entre la rétine et le cortex visuel. Les molécules de LSD se fixent sur les récepteurs de la sérotonine, cela déclenche des messages nerveux visuels sans qu'aucune stimulation n'ait eu lieu. Ceci est à l'origine d'hallucinations ou perceptions de faits ou d'objets qui n'existent pas.

    Le LSD présente une structure moléculaire très proche de celle de la sérotonine, qui est un neurotransmetteur, c’est à dire une substance permettant la communication entre les neurones. En se fixant à la place de la sérotonine, le LSD active d’autres neurones du cortex cérébral, provoquant la perception d’images n’existant pas : ce sont les hallucinations, recherchées par les consommateurs. Malheureusement, les effets ne s’arrêtent pas là : le LSD peut conduire à des « bad trips », hallucinations cauchemardesques et à des crises de panique ou de bouffées délirantes. De plus, des phénomènes de « flash-back » ont été mis en évidence : des hallucinations se produisent des semaines ou des mois après la prise de LSD.
    Au-delà de ces aspects psychiques, le LSD agit sur l’état physique du consommateur, entraînant troubles digestifs, maux de dos et endormissements, et parfois même des suicides.
    Comme tous les stupéfiants, le LSD provoque une addiction, c’est à dire une impossibilité d’arrêter la prise du produit. Une accoutumance peut aussi survenir : on nomme ainsi la nécessité d’augmenter les doses pour obtenir le même état. Elle s’explique par le fait que les neurotransmetteurs sont de moins en moins libérés par les neurones, ce qui limite leur effet. Dans le cas de la cocaïne, la quantité de neurotransmetteur libérée est divisée par 2 dès la seconde prise, ce qui oblige le consommateur à augmenter la dose.
    On voit donc que la prise de stupéfiants est un danger individuel, mais elle représente aussi un danger pour la société. 30% de la mortalité avant 65 ans est liée à la prise de stupéfiants. Les accidents de la route sont souvent liés à la consommation de drogues. Des études ont montré que la prise de cannabis entraînait pratiquement un doublement des mauvaises réactions de pilotage 15 minutes après la prise. Cet effet s’atténue peu à peu, mais il faut 48 heures pour revenir à un comportement normal…

    Ces substances sont des drogues dangereuses pour la santé physique et mental de son consommateur. C'est pourquoi il est interdit d'en consommer.